Hello 👋
Bienvenue dans ma newsletter crypto !
Je suis ravie que tu sois là, en train de lire ces quelques lignes. Moi, c’est Caro – analyste, investisseuse, vulgarisatrice des cryptos, autrice, et conférencière.
Bref, la crypto, ça me connaît !
Et actuellement je suis dans l’avion de retour de l’île Maurice donc je t’ai prévu une édition un peu light !
💰 Et si tes cryptos plantaient des arbres ?
Oui, c’est possible.
Temps de lecture : 6 min
D’habitude, quand on parle de crypto et d’écologie, c’est pour dire que le Bitcoin consomme autant qu’un petit pays.
On l’a tous entendu, et on l’a tous un peu encaissé.
Mais aujourd’hui, j’ai une bonne nouvelle.
Parce que NON, les cryptos ne font pas que polluer.
Elles peuvent aussi aider la planète (oui, oui).
Et là, je te parle de quelque chose de concret : les jetons carbone.
Des petits tokens qui ne se contentent pas d'exister sur une blockchain mais qui, en plus, financent des projets verts.
Je t’explique tout ça de A à Z. Parce que les "cryptos vertes", ça mérite qu’on s’y intéresse.
C’est quoi un jeton carbone ?
Bon, on va faire simple.
Un jeton carbone, c’est un certificat numérique qui représente une tonne de CO2 qu’on a réussi à compenser ou à éviter.
Pour te donner une image :
Imagine que tu plantes un arbre qui absorbe 1 tonne de CO2.
Cet effort, tu peux le "certifier" sur la blockchain sous forme d’un jeton carbone.
Chaque fois qu’une entreprise (ou toi !) veut compenser ses émissions de CO2, elle achète ce jeton.
Et là, magie de la blockchain :
- La transaction est transparente (tout le monde peut voir qui a acheté quoi).
- C’est traçable (pas de "Ah mais je te jure, j’ai replanté des arbres, crois-moi sur parole").
- Impossible de tricher (car tout est gravé dans la blockchain, à jamais).
Résumé express :
Un jeton carbone = 1 tonne de CO2 compensée, suivie, tracée et prouvée.
Mais concrètement, ça se passe comment ?
Là, on va parler KlimaDAO.
C’est l’un des projets stars du secteur.
Le principe ?
Tu achètes des crédits carbone via KlimaDAO, et eux, ils financent des projets concrets pour la planète.
Reforestation, énergies renouvelables, nettoyage des océans… Ce genre de trucs.
Et toi, tu fais quoi ?
Ben toi, tu "stockes" ces crédits carbone.
Un peu comme si tu les "bloquais" dans un coffre-fort, mais en ligne.
Pourquoi c’est stylé ?
Parce que plus il y a de gens qui "stockent" leurs crédits carbone, moins il y en a sur le marché.
Et tu sais ce qui se passe quand il y a moins d'une ressource disponible ?
Les prix montent.
Ça pousse les entreprises à racheter des crédits à un prix plus élevé, et donc…
Elles doivent se bouger pour polluer moins.
Pourquoi c’est révolutionnaire ?
La vraie révolution, c’est qu’avant, les crédits carbone, c’était flou.
Tu les achetais, mais t’avais AUCUNE idée de où ils allaient.
Avec la blockchain, plus d'excuses.
Chaque crédit est suivi de A à Z.
C’est un peu comme quand tu commandes un colis et que tu suis le trajet du livreur.
"Votre crédit carbone a été scanné à l’étape : Reforestation au Brésil."
Et la meilleure partie, c’est que ce n’est pas réservé qu’aux entreprises.
Toi aussi, tu peux le faire.
Tu peux compenser ton empreinte carbone, suivre tes crédits et participer à un effort collectif pour la planète.
Les projets qui changent la donne
Aujourd’hui, il y a de plus en plus de projets qui se lancent dans cette logique de "cryptos vertes".
KlimaDAO (le grand patron) : la plateforme qui te permet d'acheter et de "stocker" des crédits carbone.
Toucan Protocol : ils transforment les crédits carbone classiques (de l'ancien monde) en crédits numériques sur la blockchain.
Moss.Earth : focus sur la protection de la forêt amazonienne via des crédits carbone.
Ces acteurs sont les "transformateurs" de l’industrie.
Ils prennent un truc qui existait déjà (les crédits carbone) et le font entrer dans l’ère de la blockchain.
Et pourquoi c’est mieux ?
Parce qu’on remplace les fichiers Excel douteux par de la traçabilité totale.
Chaque transaction est publique, transparente et inaltérable.
Et toi, tu peux faire quoi ?
Ok, c’est bien beau tout ça, mais comment toi, tu peux jouer un rôle là-dedans ?
1️⃣ Va sur KlimaDAO ou Moss.Earth.
2️⃣ Achète des jetons carbone. (Oui, c’est comme acheter une crypto.)
3️⃣ Stocke-les. (En gros, tu ne les revends pas.)
En faisant ça, tu participes à la réduction des crédits carbone disponibles sur le marché.
Donc tu mets la pression aux entreprises.
Et vu que c’est visible sur la blockchain, tout le monde peut le voir (même toi).
Ce qu’il ne faut PAS oublier !
Les jetons carbone, c’est stylé.
Mais il y a aussi des limites.
Attention aux faux projets "greenwashing". Certaines boîtes se cachent derrière de beaux discours.
Ne te fais pas avoir par les prix. Les crédits carbone, comme les cryptos, ça peut monter… et descendre.
Renseigne-toi sur le projet. S’ils ne montrent pas leurs preuves, tu sais ce qu’on fait : on fuis.
Ce qu’il faut retenir (parce qu’on a tous la flemme de tout lire)
Les jetons carbone = 1 tonne de CO2 compensée.
La blockchain rend tout transparent et traçable. (Impossible de tricher.)
Des projets comme KlimaDAO, Moss.Earth ou Toucan Protocol sont à suivre de près.
Toi aussi, tu peux participer. (Pas besoin d’être une multinationale pour compenser ses émissions.)
Mon petit mot de fin
Les cryptos ne polluent pas toutes.
Elles peuvent même contribuer à sauver la planète (oui, c’est fou).
Et je trouve ça incroyable que des projets comme KlimaDAO permettent à chacun de faire un geste.
Que tu sois une entreprise ou un particulier, tu peux avoir un vrai impact.
Alors, au lieu de pointer du doigt les cryptos polluantes, si on s’intéressait un peu plus à celles qui bossent pour le bien de la planète ?
On se retrouve dans 15 jours.
Et d’ici là, si tu vois des potes qui râlent sur le "Bitcoin polluant", transfère-leur cette newsletter.
Ils seront peut-être surpris d’apprendre que la blockchain, ça peut aussi servir la planète.
— Caro 💎
PS : T’as des questions sur les crédits carbone ou envie que je te présente d’autres projets du genre ?
Dis-moi, je te ferai une édition spéciale sur le sujet.
Quel est l’océan qui borde l’île Maurice ?
- il n’y a pas d’océan qui borde Lille
- moi c’est Caro, c’est pas Maurice
À bientôt dans 15 jours … à Lille !
Merci Caroline, très intéressant, je me suis permis d'en parler sur mon site, en te citant bien sûr : https://cresus.cash/969.platine ! ;)